A longueur de journée les médias (journaux, télé, réseaux sociaux, discussions familiales et de voisinage…) relaient en boucle les désespérantes et stériles commentaires au sujet du Covid. Même si j’ai « coupé le son », je m’interroge sur la propension des scientifiques « qui « conseillent » et celle encore plus grande des politiques qui « décident » à investir ainsi l’espace public.
Nous sommes dans la manipulation la plus complète avec ces overdoses de fausses infos qui vont à l’encontre du bon sens. Plus ça parle plus je détecte des mensonges au cœur des incohérences des décideurs.
Il nous faut aller au-delà du discours ressassé pour tenter de dévoiler ce qui se cache derrière les propos des gouvernants qui semble-t-il, n’ont rien à dire et n’ont plus rien à faire d’autre que de gérer « la crise ». Quelle ardeur de leur part pour faire passer leur discours.
Je ne veux pas ici prendre position sur le port ou pas du masque. Libre à chacun de le faire, mais en conscience et en bonne intelligence. Je voudrais ici tenter de dégager ce qui se passe derrière les injonctions à vivre masqué.
Il nous faudrait éteindre la télé et la radio et allumer nos cerveaux.
Un animal qu’on croyait disparu est réapparu pendant le confinement : le Mougeon. Vous ne connaissez pas ? Il s’agit d’un hybride du mouton et du pigeon. Les plus futés découvrent l’homme qui suit le discours ambiant et se fait pigeonner, « avoir en beauté ».
A la clé, naît chez l’homme-mougeon une peur irraisonnée, souvent sans fondement (il nous faut relire les détails de la soi-disant létalité de cette « épidémie », découvrir qu’il n’y a plus de mort, que les hospitalisations sont nulles, les urgences redeviennent normales, que « l’énormité » de la reprise du Covid n’est due qu’à l’expansion des tests qui passent de 200 000 à un million par semaine, qu’être positif n’est pas forcément être contagieux, etc., etc. ,….).
Outre la peur, naît aussi chez le mougeon l’acceptation volontaire que ce qui se décide en haut lieu est pour son bien. Et que ce qu’il décide, de son plein gré, pour adhérer au conformisme ambiant le prive de la plus élémentaire des libertés.
La technique est bien rodée : Plus on fait peur et on entretient cette peur, plus les contraintes peuvent être appliquées sans discussion ou pire, avec l’aval des citoyens.
Parmi ces contraintes notons le port du masque qui cache le visage bien sûr mais dénature notre vivre-ensemble. Ce qui fait la beauté d’une relation est voilée, dénaturée. L’humanité se cache et ne peut plus rien « en-visager » du regard des autres ou de l’avenir.
Mais les vrais masques de ceux qui prônent son port commencent à tomber pour laisser voir la réalité.
Car, et c’est grave, il y a comme une destruction de la démocratie. Les lois ou les décrets sécuritaires annihilent toutes contestations : que ce soit les manifestations de rues, les idées contraires qui se propagent sur les réseaux sociaux, les rassemblements ou réunions interdites : tout devient prétexte à poursuite et incitent au silence et à la muselière.
Sous prétexte de santé les pouvoirs publics privent leurs citoyens de liberté.
C’est étonnant de voir comment de semaines en semaines et de mois en mois la soumission s’installe sournoisement et docilement dans certains esprits… avec la conséquence inévitable, celle de la division et de la violence qui s’installe entre les citoyens.
Ces esprits seront bientôt mûrs pour le vaccin anti-covid obligatoire qui fera la joie des labos pharmaceutiques.
Ils seront prêts à accepter les mesures de chômage (2 millions d’emplois menacés) , les restructurations des entreprises, les baisses de salaire, la Retraite revue et corrigée par le bas…
Et pendant que les décideurs font le buzz à longueur de journée pour alimenter l’angoisse qu’ils ont crée et détricoter ou étouffer les libertés, ils évitent de parler des sujets cruciaux qui menacent : crise écologique et réchauffement climatique, chômage, déficit commercial, fascisme qui s’installe dans le monde, guerres, mise sous silence des partis politiques, migrations, colère des exploités, faillite de l’Europe, division sociale…
Qui parle encore du « monde d’après » écologique et solidaire ? Le libéralisme financier aveugle a encore de beaux jours devant lui…
Je crois que l’heure est grave. Allons-nous retrouver la fraternité à travers des luttes, des revendications, des interpellations ou la laisser pourrir dans un chacun pour soi ?
Un ami s’inquiétait d’une énième report d’une rencontre communautaire avec le risque que se distendent les liens entre les personnes et il s’interrogeait sur le comment prendre soin de ce qui fait encore « l’entre-nous » … Questions valable pour les partis, les communautés, les associations, la vie locale ….
Il en va de la démocratie je crois si on ne veut pas se laisser mener et tromper par quelques tristes spécimens de mauvais aloi.
Que faire alors face à l’obligation qui nous est imposée et qui ne nous laisse pas le choix sous peine d’amende assénée par des pandores vigilants à qui est laissé la libre interprétation des conditions incohérentes de décrets, illégaux pour la plupart ?
Il nous faut raison garder. Dénoncer les incohérences et les mensonges et surtout ne pas attendre que l’on fasse et décide pour nous mais chercher ce que nous allons nous faire ensemble … Les réseaux sociaux sont, encore pour l’instant, des moyens pour réfléchir à des forces de propositions et garder le lien entre gens de bonne volonté.
Oui, j’en veux aux médias d’être à ce point « chiens de garde » d’un pouvoir aux abois qui ne tient plus que par l’imposture et la manipulation de mougeons.
ouiiii, cette fois je trouve enfin quelqu’un qui rejoint ce que je perçois, ce que je pense, ce que je sens arriver ! merci de dire tout haut ce que, j’espère, d’autres vont arriver à penser aussi ! il n’est pas toujours aisé de « mettre des mots » sur ce qui vient petit à petit à la conscience … surtout quand on se sent le « moutons noir » … de soulever des choses que l’entourage ne sent pas ou ne veut pas entendre !!! Merci aux lanceurs d’alerte !